Samedi 13 juin : mal de tête en perspective. Cause : toute une journée à La Ronde, le parc d’attraction de Montréal, situé sur l’île Jean Drapeau. Et on commence la journée par un lever un peu trop tôt à notre goût (9h30), pour arrivée avec les Supinfopotes à l’entrée à 11h. Masse de monde à notre arrivée, on se croirait (presque) à Disney.
Donc après un peu d’attente pour rentrer, on commence par acheter le Pass Flash (pour passer devant tout le monde à certaines attractions), et un gobelet de liqueur (= soda) à remplir à volonté toute la journée. Maintenant parés, direction la Tornade : jusqu’à 6,5 fois l’accélération de la pesanteur en mouvements de rotation verticaux. À peine remis, direction notre premier grand-huit, le Cobra : debout dans les wagons, c’est parti pour des courbes serrées et une boucle verticale de 360 degrés. Quelques minutes plus tard, le Vampire : avec les rails au-dessus de la tête, on peut ne pas être trop rassuré devant cette montagne russe de 823 m, filant à 80,5 km/h, avec cinq boucles et des forces atteignant 4 G.
En attendant de pouvoir aller en Orbite, on se repose un peu avec un petit manège dans l’eau : la Pitoune. Mathieu se sent… comment dire… vaseux, alors que Thibault récupère encore des loopings d’avant, donc l’attente leur permet de récupérer. Comme le kebab juste après. Mais pas trop le temps de souffler, et c’est donc au tour de la mise en Orbite : une tour qui nous propulse à 45 m en 2 secondes pour ensuite redescendre en chute rapide, résultat vécu : force physique de 4G à la montée et de 1G négatif à la descente. Un certain T. Bavard n’a même pas voulu essayé !!!
Après ça, on s’attaque aux plus gros… Tout d’abord, le Boomerang (film à la clé) : on tire le « train » en arrière, pour le lâcher tout d’un coup en avant dans une grosse descente à 75 km/h, et après quelques courbes et un looping, le train est « retiré » dans l’autre sens, pour refaire le même parcours… en arrière. Banal quoi. Ensuite, le Monstre. Qui porte bien son nom : 2 parcours pour ce grand-huit du genre centenaire : tout en bois. Et même la plus haute montagne russe double en bois au monde. Pas de looping, mais 1km200 de montées, de descentes et de courbes jusqu’à 96 km/h. Cette fois, c’est moi qui ai difficilement supporté (peut-être aussi avec les gros coups de soleil attrapés depuis ce matin), malgré ma technique du petit chien (ou de la femme enceinte, c’est pareil). Surtout puisqu’on a fait les deux parcours à quelques minutes d’intervalle. Et pour bien m’achever : le Goliath : 53 mètres de haut, 1km200. Mentionnons aussi sa première descente, pas grand chose : 52 mètres de descente à 110km/h pendant 3 minutes. De la gnognotte quoi !!! 1ère fois de ma vie que je ferme les yeux dans une descente de manège !!!
Bon et après ça, on se calme un peu avec la grande roue (et pourtant, un certain Mathieu n’a pas voulu monter). Et on reprend, plus en douceur quand même, avec le Super Manège : 65 km/h (après avoir vécu le Goliath, ça fait plus grand chose). Et s’il ne fait pas grand peur, le « petit problème technique » qui bloque le train à quelques mètres de l’arrivée pourrait (comme a priori le gars qu’on voit au départ, qui dirige le manège et qui semble… légèrement débutant et perdu au milieu des boutons et des manettes de commande).
Et donc, après une entrée dans le parc vers 11h30, on en ressort à 19h00, direction Kanda Sushi à volonté pour reprendre des forces et tenter de calmer les maux de têtes… Après le restau, on repart vers le Saint-Laurent, en face de l’île Jean Drapeau, pour assister aux magnifiques feux d’artifice tirés depuis le parc, et qui marque surtout l’ouverture du 25ème Concours International de Feux présenté à Montréal : jusqu’au 22 août, chaque samedi, un pays se présentera au Concours pyrotechnique.
Retour à l’appartement : direct au dodo…
Voili Voilou bande de voyous… C’est reparti pour beaucoup de photos, avec le weend-end à Niagara dans une semaine !!! donc à très bientôt.
